La Légende de la Vertelangue

Thème:

Nous sommes en 999 ApE, sur la Kryte indépendante, sous le règne du Roi père du Roi Jadon. Sur les Hinterlands Harathis, terre ou la guerre fait rage contre les centaures face aux séraphins. Les territoires bougent tout le temps, mais il existe un lieux calme, un lieux reposer, à l’abri de la guerre, cet endroit ce nomme Kanorak... Un village perdu entre quatre montagnes au nord des Hinterlands, qui à pour seul accès un passage souterrain. Dans ce village mystique, interracial, des Jotuns y vivent en paix avec les humains, comme des centaures pacifique et autres races mineur. Le Village est mener par un Baron, nommé Adriel Okhaïn, venant d'une Maison très discrète, il était bon et juste avec les habitants de Kanorak, même si il subissait très souvent de grandes colères.
Ce Village était magnifique, isolé entre quatre montagnes, des bâtiments nains qui servait de maisons, des ruelles et grandes places sauvage, dans une végétation forte de ronces, diverses fleures et autres plantes. Des odeurs de menthes était présentes, comme des rires et cries d'enfant lointain dans la haute citée de Kanorak. Pour sécurisé le Village, le Baron cacher l'entré de la caverne qui menait aux terres des Hinterlands jusqu'au Village pour éviter les attaques centaures, il la cachait avec sa magie, fessant apparaître un mur de pierre à la place d'une grande grille qui pouvait ce lever. Le Village vivait de la chasse, du commerce, de la pêche. C'était un village ou régulièrement, des voyageurs et commerçants venait partirent à l'aventure, pour chercher le village et y échanger, nourritures, alcools, armes et armures et autres marchandises. Mais... alors que le Village vivait calmement sous les bons auspices des Six, un malheur allait s'abattre sur la communauté de Kanorak...
Les bruits de lame ce fessait entendre dans le village, au levé du soleil rouge, Alors que le village s’éveiller doucement... un Dame vêtu d'une longue robe noire, fait de tissu simple, sans trop de valeur, à quelques déchirures près des jambes. La Demoiselle rejoignait la caserne, où tout les valeureux soldats était encore dans leur sommeil, la Dame montait jusqu'au sommet du bâtiment à l'architecture naine, là ou été l'origine des bruits d'épée.
"à ce que je vois, tu sert de coq..." dit la femme en noire, arrivant au sommet de la tour, sur un ton de plaisanterie. Alors que face à l'inconnue encapuchonner en noire, ce trouve une jeune femme rousse, épée à la main, frappant sur un mannequin en paille. La femme en armure aux cheveux roux arrête son action, ce tournant vers la femme en noire.
"Démétras... tu te lève sacrément tôt ma chère sœur !" Dit la rousse, prenant un sourire sincère, s'approchant de sa sœur après avoir rengainer son épée.
Démétras enlève son capuchons, laissant apparaître un visage de jeune fille aussi, autour des 20 ans, des cheveux roux allant jusqu'aux blonds, le teint beige classique.
"Tu es sûr que tu n'est pas stresser pour la mission de toute à l'heure ?" Dit Démétras à sa sœur, Lindra. D'un ton doux et calme.
"Pff ! Bien sûr que naaan !" Répondit Lindras, en riant un petit peut, semblant enfaîte vraiment stresser...
Démétras lui sourit, puis tourne le talon, remettant son capuchon "Je l'espère, ont ce revoient avant que tu parte !" Alors qu'elle commence à redescendre les escaliers. Laissant Lindras dans une légère stupeur, cogitant, observant sa lame qu'elle avait déposer par terre.
Le monde et les Hinterlands se levaient petit à petit, alors que le soleil était lever depuis quelques heures déjà. Autour des dix heures, sur le pont en pierre qui mener jusqu'à l'entrée de Kanorak, des bruits de pas, d'armures et de clignements d'armes résonnait. C'étais un groupe d'homme, une bonne vingtaine. La plupart ont de salles têtes de bandit, de fripouilles. Armés de lances, d'épées et d'arcs, d'haches de mauvaises qualités, faites à l'arrache. Ils traversèrent le pont sans hostilité, saluant rapidement les gardes présents, d'un air nié. Ils passèrent la grille qui mener au village déjà réveiller, semblant comme impressionner par la beauté du lieux, alors que les habitants les regardais d'un air méfiant, certains ont peur de ses mystérieux guerrier. Les gens venait à leurs balcons de pierre dans leur bâtiments nains, les observants encore et toujours. Au sommet de la montagne, la hutte du chef du village, du Baron Adriel Okhaïn, celui ci les fixant, le regard méfiant, les bras croisé. Un regard s’échangeait entre le meneur de la troupe d'homme et le Baron, pendant un long moment... lors se que le Baron fit demi-tour pour prendre les escaliers qui décende au Village. Au même moment, Lindras était toujours perchée sur la tour de la milice, elle aussi regardant le groupe, comme tout le village, toutes les races et toutes les personnes autour. Le chef du groupe, un homme plutôt fin de moyenne taille, les cheveux bruns mi-longs, le regard ambré sûr de lui, un léger sourire farceur aux lèvres, regardant les gens qui le dévisage. Il avait son épée dégainer, mais il la range à sa ceinture, se tournant vers son groupe... "Ont y est les gars !" Alors la troupe venant poussé un soupire joyeux, l'homme aux cheveux mi-long se retournant vers la place du village, marchant en direction des escaliers de la hutte du chef...

"Vous croyez qu'ont peut les faire confiance Baron ?" Dit Margon, conseiller du Baron Okhaïn, sur un ton presque tremblant. Le Sir Adriel Okhaïn est un homme aux cheveux très long, lui tombant sur les fesses, ceux là d'une couleur châtain, avec de multiples tresses. Des habits plutôt noble sans trop d'extravagance... quelques bagues en argent à son poignet. Celui ci était sur le balcon qui donnait vue sur la place du village, semblant en méditation, les sourcils foncés... Lors se qu'il se tourna vers Margon... "Nous n'avons pas le choix... Dit'il de sa voix grave, avançant vers son conseiller, marquant une pause Ils savent se battre, ils acceptent les contrats, ils ne désirent pas l'argent..."
Le Baron laisse le silence frapper, se servant un gobelet d'eau, remontant son regard sur Margon de ses yeux marron profond. Lors se qu'il terminas sa boisson, il reprend ... "Nos alliés nous quittent, nous avons perdu la Maison d'Andre il y à peut, le Duc de Hondrian ne tiens qu'à un fil et les Maison de l'Est, comme les Tritises et les Tyrions ignorent même notre existence !" Il se retourne vers le balcon, jetant un œil dehors... "Sans compter que les centaures arrivent vers l'Ouest, et qu'ils sont près du pont..." Il soupire "Alors oui, nous n'avons pas le choix, Margon..." Pendant que le Baron observait la place, attendant la visite du Chef du petit groupe qui vient d'entré à Kanorak